Pokéscience
Les origines réelles des Pokémon

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La troisième génération

Un gecko à queue plate pour le premier stade d'évolution. Le deuxième stade est inspiré du dromæosaure avec des feuilles à la place des plumes, et du Protarchaeoptéryx, un dinosaure à plumes. Le dernier stade d'évolution est inspiré du même gecko que le premier, et du dilophosaure, tandis que ses orbes de nutriments sur son dos sont inspirées des plantes légumineuses.


Le Pokémon est inspiré du poulet cracheur de feu, basan. Il tient aussi du coq de combat, d'où son double-type. Le dernier stade d'évolution rappelle aussi les dieux égyptiens Horus et Râ, ainsi que le Karura.


Le premier stade est inspiré à la fois d'un axolotl, de la famille des Proteidae et des poissons grenouille. Le second rappelle les Protéidés et les poissons grenouille avec un casque corinthien ou de mirmillon. Le troisième stade d'évolution a la queue et les nageoires en forme de crêtes de casque et il rappelle l'Homme-Chose.


De par son caractère et sa petite taille, Medhyena, contrairement à ce que son nom indique, est inspirée du diable de Tasmanie. Grahyena est inspiré à la fois de la hyène, plus particulièrement la hyène brune, du chien de berger allemand et du loup gris.


Zigzaton est un raton laveur, plus particulièrement le tanuki, le raton laveur japonais qui, dans l'iconographie traditionnelle, a d'énormes testicules symbolisant la prospérité (d'où l'expression française et japonaise « avoir des couilles en or »). Linéon est lui aussi basé sur les ratons laveurs et le tanuki, mais il rappelle aussi les furets, fouines, blaireaux, voitures de course. Il est aussi inspiré des créatures mythologiques kamaitachi (belettes aux griffes acérées), ramidreju (belette-serpent espagnole), et les blaireaux-furets.


La chenille rappelle un perce-oreille. Les cocons sont ceux d'un papillon ou d'une mite. Le papillon est de la famille des papilionidés, sans doute un Machaon (forme chromatique inspirée du Flambé) tandis que la mite est japonaise (espèce Actias artemis).


Ce Pokémon est inspiré des nénuphars. Le premier stade évolutif rappelle les tardigrades. Le second stade ressemble encore plus au kappa que Akwakwak (réservoir d'eau sur la tête, bec de tortue) tandis que le dernier stade est un ananas habillé en danseur mexicain.


Ce Pokémon est un gland durant son premier stade d'évolution. Puis il devient un tengu japonais (esprit du vent au long nez), prenant au passage des airs de Pinocchio. Il rappelle également la série Pikmin, jeux vidéos de Nintendo. Le dernier stade d'évolution ressemble encore plus à un tengu, et aussi au Casse-Noisette de l'opéra éponyme.


Une hirondelle, rustique ou messagère. La forme évoluée rappelle, pour sa couleur shiney, un quetzal, et pour sa couleur normale, un messager sagittaire (ou secrétaire, ou serpentaire).


Le premier stade ressemble à une mouette ou plutôt un albatros de par son comportement. Le deuxième stade est un simple pélican.


Le premier stade a toutes les caractéristiques (intuition, empathie…) et l'apparence d'un jeune enfant. Kirlia est une danseuse de ballet et Gardevoir porte une robe de bal. Cette dernière rappelle aussi les fantômes, les anges gardiens, les poupées de papier japonaises anesama. Le mâle quant à lui rappelle de nombreux combattants : il prend des postures d'escrime, se comporte en chevalier, est armé comme un mirmillon, porte un casque corinthien ou de hoplite.


Le premier stade d'évolution est basé sur les araignées d'eau. Le stade évolué rappelle les ocelles sur les ailes de certains papillons ; il est aussi inspiré des demoiselles, une sorte de libellule.


Ce simple champignon devient, en évoluant, une sorte de champignon-kangourou partageant des traits avec les dinosaures Pachycephalosaurus (pour la tête) et Ankylosaurus (pour la queue).


La première évolution est basée sur les paresseux à deux doigts (unau). Le deuxième stade d'évolution est plutôt basé sur un autre paresseux, désormais disparu, le paresseux terrestre. Le dernier stade d'évolution rappelle lui aussi un paresseux terrestre, le Megatherium, ainsi qu'un gorille.


Le premier stade d'évolution rappelle la larve d'une cigale, tandis que le second ressemble à la cigale adulte, mais aussi aux abeilles et un peu aux ninjas. Le dernier « stade » d'évolution n'est autre que l'exuvie. Sa capacité et son halo rappellent aussi les anges gardiens.


Le premier stade d'évolution semble basé sur le concept de murmure ou de chuchotement. Son aspect rappelle un lapin en peluche. Le second stade d'évolution semble plutôt basé sur une boombox (en bon français, « radiocassette »…). Le dernier quant à lui est inspiré, en plus, d'un hippopotame et d'un orgue.


Ce Pokémon est inspiré d'un lutteur sumo.


Ce Pokémon est inspiré des Moais de l'Île de Pâques. Il est aussi inspiré d'une boussole et de l'os ethmoïde, séparant le nez du cerveau, qui permet à certaines espèces d'oiseau d'avoir un certain sens des directions. L'évolution porte la coiffe pukao des Moais ; il pourrait aussi être un hommage à Mario.


Ce Pokémon est inspiré d'un chat tandis que sa queue rappelle les graminées à épis (comme l'orge par exemple), « queue de renard » en anglais. L'évolution rappelle également le caniche et sa célèbre coupe « à la lion ».


Ce Pokémon est inspiré d'un alien célèbre au Japon, celui de l'affaire des Rencontres de Kelly-Hopkinsville. Dans les jeux 3D, il a le même mouvement des hanches.


Une futakuchi-onna, monstre japonais en forme de femme avec une bouche derrière la tête. Sa capacité à apprendre des attaques de type plante suggère un lien de parenté avec des plantes carnivores, à l'instar du Pokémon Vortente.


Une tortue, un reptile mammalien disparu (le genre Placerias), un tricératops bipède.


Le premier stade dévolution, rappelant un singe, a la même position qu'un yogi méditant sur de longues périodes (la fameuse position du lotus). Le turban fait écho à des divinités Hindoues comme Shiva, souvent représenté avec un turban et méditant. La forme évoluée, tout en gardant les caractéristiques du yogi, a le même pantalon que celui de l'ensemble bedlah porté par les danseuses du ventre. La coiffe rappelle les génies perses, ainsi que la divinité Hindoue Ardhanari.


Un loup à crinière, ou le youkai japonais Raiju.


Les charges positives et négatives de l'électricité ; une souris ou un lapin qui serait une cheerleader.


Ces deux Pokémon sont basés sur des lucioles. Le mâle est inspiré de la sous-famille Cyphonocerinae ainsi que de la sous-culture des blousons noirs (greasers aus USA, bosozoku au Japon). La femelle a le style des années 1920 « flappers ». Elle en a la coupe de cheveux (« bob cut ») qu'on voit notamment dans la publicité Coco Mademoiselle. Elle porte une gaine et a le même col que Peter Pan dans certaines des adaptations.


Ce Pokémon est inspiré d'une rose. Son dernier stade d'évolution rappelle le costume porté dans un bal masqué (masque, cape, mouvements de danseur).


L'apparence de ce Pokémon est basée sur une glande de poison. Le premier stade d'évolution rappelle la vésicule biliaire. Le second stade d'évolution a été appelé blobfish par les fans alors qu'il ressemble plutôt à un pseudopode. Ses moustaches et sa forme rondouillarde sont aussi inspirés d'un sac poubelle fermé par sa ficelle (les moustaches).


Le premier est basé sur les piranhas. Le second tient à la fois du requin, de la torpille et du poisson-lune.


Il s'agit tout simplement d'une baleine, plus particulièrement une baleine bleue. Le premier stade d'évolution rappelle également un ballon de plage tandis que le second a des airs de torpille ou de sous-marin.


C'est un volcan, croisé avec un dromadaire pour le premier stade d'évolution, un chameau de Bactriane pour le second.


C'est une tortue terrestre qui cache une chaudière dans sa carapace.


Un cochon sur un ressort. Ce Pokémon est également inspiré de la citation biblique « jeter des perles aux pourceaux » (donner de la confiture aux cochons) ou encore le jouet du diable en boîte. Ce Pokémon, contrairement au cochon de la citation, utilise la « perle de la sagesse » pour augmenter ses pouvoirs psychiques.


Ce Pokémon est basé sur l'idée générale de la confusion. Son apparence rappelle un panda avec des oreilles de lapin, ou encore un panda roux qui, lui aussi, a des marques qui sont uniques pour chaque individu.


Un fourmilion bien que l'insecte réelle passe par une étape de cocon, ce que ne fait pas le Pokémon. Les dernières évolutions rappellent également les libellules (dragonfly ou « dragon volant » en anglais) ; les fourmilions, pour en être différenciés, sont surnommés « sand dragons » (dragons du sable) d'où le double-type de Vibraninf et Libégon.


Un cactus avec un peu de Jack-o'-lantern, ; un cactus saguaro et un épouvantail. Leur double-type Ténèbres vient du fait que les cactus fixent le CO2 la nuit, et non le jour.


Le premier stade d'évolution est basé sur le merlebleu, avec des ailes en coton ou en nuage. Il rappelle également le lori ultramarin ou encore le mésangeai du Canada pour sa tendance à se poser sur la tête des gens. Altaria est basée sur le Peng, oiseau géant chinois aux ailes de nuage et à tête de dragon (d'où le double-type).


L'éternel combat entre la mangouste et de la vipère (plus particulièrement Trimeresurus elegans). Pourtant, les crochets de Seviper ne sont pas rétractiles ; il rappelle en ça les mambas tandis que sa queue fait plutôt penser aux Uropeltis.


Ces Pokémon sont basés sur des météorites ainsi que la lune et le soleil.


Une myxine, le poisson-chat Namazu.


Une écrevisse de Louisiane, populaire au Japon comme animal de compagnie ; un homard, créature nocturne, d'où le double-type Ténèbres.


Ce Pokémon rappelle les figurines en terre cuite dogu de la période Jomon. Le premier stade est également inspiré d'une toupie ou un sevivon, et le second stade, l'idole japonaise Arahabki, commune dans les auberges*.


Un lis de mer.


Ce Pokémon est un anomalocaris. Le premier stade tient aussi du trilobite tandis que le second a des traits communs avec les dinosaures.


Ce Pokémon est basé sur le conte de fées Le vilain petit canard. Le premier stade d'évolution est un bar. Milobellus rappelle en même temps les sirènes, certains monstres et serpents marins, le monstre du Loch Ness, et les régalecs


Ce Pokémon réagit comme un nuage vivant. Il est inspiré des ballons-sondes et de la poupée rituelle teru-teru-bozu.


Un caméléon.


Le premier ressemble à la fois au teru-teru-bozu et à certaines marionnettes. Le second tient à la fois de la poupée vaudou et du tsukumogami.


Le premier rappelle le Croquemitaine (namahage au Japon). Le second est inspiré des momies et du monstre-lanterne japonais. Le dernier tient à la fois du cyclope, du yamawarawa décrit dans le Gazu Hyakki Yako, et son antenne fait écho au phénomène de voix électroniques.


Un sauropode, ou le mokele-mbembe, croisé avec un bananier.


Le premier est un grelot, avec la corde rouge et blanche qu'on leur trouve dans les sanctuaires Shinto. Le second est un fuurin (cloche éolienne). Sa « queue » fait écho au papier qu'on accroche à la cloche et sur lequel on écrit un haïku.


Le monstre chinois Bai Zé (kutabe au Japon). La forme de son visage rappelle le symbole du yin et du yang. La superstition qui l'accompagne fait écho au chat noir, son comportement rappelle le puma et le chamois. Son visage humain et sa force font aussi écho à la manticore.


Un esprit de la neige yukinko portant la cape de neige yuki mino, ou un zashiki warashi pour sa tendance à apporter bonne fortune. Oniglali rappelle un masque de hockey sur glace, un oni, les boules de riz onigiri, ou un grêlon. La femelle est inspirée de Yuki-onna.


Ce Pokémon est un morse (moustaches, défenses).


Le premier stade est basé à la fois sur une huître ou un tridacne géant, ou encore sur la rogue. Serpang est inspiré des grangousiers, des poissons-vipère, des régalecs. Rosabyss est un poisson-avocette abyssal. Il est également inspiré des Syngnathinæ, des régalecs, des chimères.


Le cœlacanthe, un fossile vivant.


Un discus, ou un gourami embrasseur. Sa forme de cœur et sa couleur shiney rappellent l'expression « avoir un cœur en or ».


Osons le dire : c'est un dragon. Le premier stade d'évolution est inspiré du pachycéphalosaure. Le second est une pupe et le troisième, un dragon occidental.


Le premier stade d'évolution ressemble à la fois à une haltère grecque antique et à une pattes des autres formes évoluées. Métang ressemble à une soucoupe volante ou à un crabe. Métalosse rappelle, par sa structure et son intelligence, un robot ou un superordinateur.


Ces Pokémon, tout comme les golems hébreux, ont sur le front des signes. Si on place les golems dans le bon ordre, les signes font EMET (« vérité » en hébreu).


Latios et Latias sont deux dragons en forme d'avions à réaction créés comme étant une paire, comme le yin et le yang (mais ils ne représentent PAS le yin et le yang). Leur espèce est nommée « éon » et effectivement, ils semblent inspirés des éons tels que vus par les gnostiques.


Ces trois Pokémon sont inspirés du trio Léviathan – Béhémoth – Ziz mais aussi des trois plus puissants dieux grecs : Poséidon, Hadès et Zeus.

Le design de Kyogre (Léviathan ou Poséidon) rappelle une orque.

Celui de Groudon (Béhémoth ou Hadès) est inspiré de dinosaures comme le tyrannosaure, l'anlylosaure, l'euoplocéphalus.

L'apparence de Rayquaza (Ziz ou Zeus) est plutôt tirée du dragon oriental, du quetzalcoatl et du lindworm. Sa coloration rappelle un peu le personnage du Joker.


Jirachi est une étoile qui exauce les souhaits, comme les étoiles filantes, superstition reprise dans le jeu Mario. Son apparence est inspirée des génies et son concept, du rituel de Tanabata.


Déoxys est basé sur l'ADN, les aliens, et le fait qu'on a retrouvé des traces d'acides aminés sur des météorites.

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